C’est parti ! Déjà 10
souscripteurs pour financer la production du CD qui accompagnerait le livre « François
Villon, corps à cœur » sur ULULE http://fr.ulule.com/francois-villon/
(Un énorme « MERCI ! » a eux pour s’être
lancés illico dans l’affaire !)
Ceux qui me connaissent bien
savent que depuis (très) longtemps je veux faire « mon » livre sur
François Villon.
Le temps est venu.
Dans le paysage éditorial
actuel où les décideurs se regardent en bassets de faïence et attendent que
leurs concurrents trouvent la nouvelle mode « bancable » pour
s’empresser de les pomper, il existe encore un espace de liberté chez l’un des
derniers (ou des premiers !) aventuriers de l’édition : Yil.
Cette jeune structure m’a permis de réaliser comme je l’entendais
une évocation de l’œuvre et de la bio du plus turbulent des poètes
médiévaux.
L’ouvrage dont la sortie est
prévue pour fin novembre, fera 172 pages et sera accompagné de 25 illustrations en noir et blanc.
Cerise
sur le gâteau : Mon ami, Jean-Luc Debattice a accepté de signer la
préface !![]() |
172 pages... plus de 25 illustrations noir et blanc...
Couverture couleur... et si le
financement participatif nous le permet : LE DISQUE ! !
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Môssieur Daraquy ! !
Je continue de m'émerveiller que nos chemins se soient croisés.
Si vous avez l'occasion de le voir et de l'entendre en
spectacle, n'hésitez pas !
Il est vraiment phénoménal !
Lisez ce qu'en dit le critique de chanson Michel Kemper
(auteur entre autres de l'excellent "Les vies liées de Lavilliers") :
http://www.nosenchanteurs.eu/index.php/2012/04/29/bruno-daraquy-pcc-francois-villon/
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Daraquy
incarne un Villon pétant de vie ! Rare ! |
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un des "cadeaux" !
Tout le reste est décrit sur http://fr.ulule.com/francois-villon/
D’ailleurs, ceux qui croient connaître déjà cette image
s’apercevront qu’un élément nouveau s’ y est glissé… Sauront-ils le
voir ?… Le jeu est ouvert ! ! !
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"En ces temps que j'ai dit devant
Sur la Noël, morte saison,
Que les loups se vivent de vent..."
François Villon "Le Petit Testament"
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« Témoin : l’abbesse de Pourras
Qui fut, qui reste et restera
La plus glorieuse putain
De moines du quartier latin. »
Georges Brassens
« Le Moyenâgeux » |
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