samedi 17 septembre 2016

41 JOURS POUR FRANCOIS VILLON ! C’est curieux le hasard…


financement de l’enregistrement « François Villon, corps à cœur »

Bonjour à tous,

C’est curieux le hasard, il y a deux jours, j’évoquais le film d’Ingmar Bergman, « Le septième sceau » à propos de l’illustration de la 4ème de couv de « François Villon, corps à cœur »… Et cette semaine, dans Télérama je découvre cette superbe photo de Johan Annerfelt. Il s’agit d’un monument évoquant (fantastiquement à mon goût) le film du maître suédois.
Cet ensemble de statues est situé devant la cité du cinéma de Stockholm (par contre pas moyen de connaître le nom du sculpteur…)
En tout cas, c’est superbe ! Tous les personnages sont juchés avec la Mort sur l’horrible et inexorable chariot de la destinée. On voit le dérisoire échiquier de la vie qui en tombe. Sur l’implacable véhicule, les baladins continuent par insouciance ou par défi des cabrioles, le poirier…
Même le bébé qui symbolise la vie est emporté.
Quant au chevalier, il est tourné vers ses frères humains. Il a perdu au jeu de dupe que lui a accordé la mort. On ne sait trop s’il les met en garde ou s’il leur adresse un signe d’adieu.
Génial ! On est complètement dans l’ambiance Villon !
C’est curieux le hasard… Stockholm… Stockholm… 
L’une des sources par lesquelles nous sont parvenues les œuvres de Villon est « Le manuscrit de Stockholm ». Postérieur à 1477, il ne fut donc pas rédigé du temps de Villon mais par un scribe. On y trouve plusieurs poèmes de différents auteurs comme Alain Chartier, mais surtout des ballades de maître François comme celle des « Femmes de Paris » ou de « La Grosse Margot » mais aussi des poèmes en jargon et jobelin (la langue secrète des coquillards).
Les spécialistes se chamaillent encore sur les interprétations à donner à tel ou tel mot ou pour savoir si le scribe qui  a recopié les vers n’aurait pas inversé des huitains.
Moi, je ne rentre pas là-dedans. Je dis juste que « c’est curieux, le hasard ! »
En tout cas, le disque pour l’enregistrement duquel nous tentons de rassembler les fonds sur Ulule présentera la « Ballade au bout de la langue ». J’y ai pastiché ces fameuses ballades coquillardes, mais comme je suis bon prince, je ne laisse pas le lecteur-auditeur en rade puisque je lui donne la signification des mots du « langage subtil ». Pour le reste, la mélodie de Malto et l’interprétation de Bruno Daraquy, vous embarqueront.

Voilà, en attendant de brailler quelques bonnes chansons en taverne devant une pinte d’hypocras, merci de continuer à nous aider sur http://fr.ulule.com/francois-villon/
Soit en nous envoyant des picaillons soit en répercutant l’opération auprès de vos familles et amis.
Car après un départ fulgurant du financement, il se pourrait que ça commence à patiner… et nous n’avons guère de milliardaires dans nos carnets d’adresses et contacts mondains…

Maurice Galland, directeur du Théâtre Libre de Saint-Etienne m’a mis en contact hier avec un journaliste du « Progrès-Loire ».
Un article consacré à notre projet de livre-disque sortira prochainement.
J’en profiterai pour mettre la totalité de notre entretien en ligne.
Le Théâtre Libre propose déjà de reprogrammer « Frères humains… 17 chansons autour de François Villon ».


D’un point de vue « stratégique », la production du disque est très importante car elle va nous permettre de toucher certaines « grosses » antennes de Radio France et de présenter l’ouvrage dans les festivals et lieux de spectacle en plus des salons du livre « classiques ».
C’est une vraie et belle aventure que je voulais voir se concrétiser depuis longtemps. Elle n’a jamais été si près d’aboutir grâce aux talents conjugués de Yil, de Malto, du grand Bruno Daraquy et de ses musiciens : Laurent Bézert et Thomas Garrigou !
Il reste 41 jours.
N’hésitez pas à aller faire un tour sur http://fr.ulule.com/francois-villon/
Vous pourrez y suivre la progression de l’ouvrage mais aussi sur
où nous nous emploierons à publier des extraits du texte, des illustrations, des crayonnés, des photos, des documents et des enregistrements.

Mon amitié à tous et encore un immense merci à tous ceux qui nous aident déjà.

Vous pouvez lire l’article que Michel Kemper consacra au spectacle « Frères humains, 17 chansons autour de François Villon, ici : http://www.nosenchanteurs.eu/index.php/2012/04/29/bruno-daraquy-pcc-francois-villon/

 
Encore 41 jours pour rassembler le financement
de l’enregistrement…
Nous ne sommes pas encore arrivés à la moitié…
alors…
Rendez-vous sur http://fr.ulule.com/francois-villon/

Et voilà le monument célébrant le « Le septième sceau » de Bergman
Avec deux photos tirées de ce chef-d’œuvre



Voici le plan de Paris qui figurera en fin d’ouvrage
pour que le lecteur puisse suivre les pérégrinations
de maître François sur son terrain de jeux préféré !

http://fr.ulule.com/francois-villon/



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