dimanche 30 septembre 2018

JOURNEES GASTON #COUTÉ À MEUNG-SUR-LOIRE : ON NE REGRETTE PAS LE VOYAGE ! !


Le weekend dernier, Bruno #Daraquy et moi étions à #Meung-sur-Loire dans le cadre des journées Gaston Couté.
Bruno a souvent interprété les œuvres du génial poète beauceron, anarchiste et montmartrois qui préfigurait #Brassens et découlait de Villon.
Bruno a interprété quelques textes de Couté.
Ici, aux abords du Musée de la Monnaye.

Ainsi à l’invitation de la très belle association #RoudonDiffusionArtistique
qui chapeautait les journées, avons-nous été conviés à présenter notre «  François Villon, corps à cœur » à Meung-sur-Loire au Théâtre de La Fabrique où nous avons eu la visite surprise de #Malto (le compositeur).
Le 22 septembre c’était reparti pour un nouvel exploit théâtral de Bruno Daraquy.
Prochaines représentations : le 13 et 14 octobre
au Théâtre de La Closerie à Etais-la-Sauvin près de Vézelay.

Pendant les réglages lumières.

Notre régisseur général : #CyrilMonteil qui accompagne Bruno dans son numéro de funambule… 
Il doit envoyer les projections, les voix off… aux bons moments…
Bref, son action est tout aussi importante que celle des artistes
qui se trouvent en scène.
François Villon capté par la Nasa ?… François Villon héros du prochain George Lucas ?… 
Non. Il s’agit plutôt des ultimes réglages des projections de Cyril.

Nous tenons à exprimer nos remerciements à tous les membres de l’association, à commencer par sa présidente, l’excellente Catherine Pâtissier (par ailleurs bonne interprète de Couté !) et le peintre et écrivain, François Robin qui nous a reçus chez lui on ne peut plus aimablement. Et « chez lui » c’est dans la maison où séjournait Gaston Couté lorsqu’il quittait Montmartre pour revenir à Meung-sur-Loire.
François ne releva ce fait qu’en examinant une photo où Gaston figurait devant une maison… une maison qui ressemblait fort à…  la sienne !…


Daraquy sur les rives des « Mauves » (On peut voir sa chienne Lucia qui le samedi soir, a attendu sagement la fin du spectacle, avant de venir sur le plateau saluer
le public…)

Bref, c’est un petit havre de verdure où la rivière, Les Mauves se sépare en deux bras et irrigue les jardins et prairies des alentours.
Mac Orlan qui fréquenta l’école avec Couté  et qui fut l’un des ses amis, évoquera dans ses oeuvres ce lieu qui continue à accueillir des rassemblements amicaux et poétiques autour des textes du « gâs qu’a mal tourné ».
« Lorsque nous passions sur le bord du fleuve
Au temps où l’Amour murmurait pour nous
Sa chanson si frêle encore et si neuve,
Et si douce alors en les soirs si doux
Sans songer à rien, trouvant ça très drôle,
De la berge en fleurs où mourait le flot,
Comme des gamins au sortir d’école,
Nous jetions tous deux des cailloux dans l’eau… »
Gaston Couté, « Les cailloux »

Cet embarcadère existait-il du temps de Couté ?…  


Deux larrons !… la foire ne doit pas être loin.
… leur hilarité est sans doute due à cette très belle statue qui nous a rappelé
l’un des titres du spectacle.

Jean de Meung (co-auteur du « Roman de la Rose » avec Guillaume de Lorris), François Villon (prisonnier au château de l’évêque pour on ne sait quoi exactement) et Gaston Couté demeurent trois figures littéraires et marquantes de Meung-sur-Loire.
D’ailleurs, l’espace Culturel #LaMonnaye est un musée qui consacre plusieurs salles à Villon et à Couté.
Dirigé par Charlène Gilbert épaulée par Cécile Facon, cet endroit recèle de véritables trésors (livres rares, coupures de journaux du 19ème siècle, écrits divers de Couté, dessins…)
Si vous allez à Meung-sur-Loire ne manquez pas de vous y rendre.
Ce fut une joie pour moi d’y dédicacer mes livres.



caricature de Gaston Couté par Jean-Michel GRUET, 2012
Voyez les beaux livres que m’a apportés Bruno… Celui de gauche faisait partie de la bibliothèque du grand  Maurice Joyeux « Joyeux et c’est pour ça qu’ils sont toujours debout ! » chantait Léo Ferré dans « Les anarchistes » en adressant un clin d’œil à son vieil ami.

Et puis, j’ai eu le plaisir de rencontrer et d’écouter de véritables passionnés de Couté comme Vania Adrien Sens, Michel Lesueur et Bernard #Meulien qui avec Gérard #Pierron, est l’un des artisans de la redécouverte du poète.
Le comédien qui incarna Couté à l’écran pour la télévision en 1979 dans « La belle époque de Gaston Couté » était là. Hé, oui ! Bernard Meulien dont j’ai admiré la composition dans ce téléfilm était là… tonique !… narquois !… poétique en diable !

La veille nous avions applaudi Bernard Meulien dans son spectacle,
« Le retour de Gabby » d’après le roman « Ulverton » d’Adam Thorpe. 
Ces deux journées à Meung-sur-Loire ont été extrêmement plaisantes. J’y ai rencontré l’adjoint en charge de la culture, Alain #LeGallo aussi érudit que passionné avec qui nous projetons déjà une future collaboration… Je vous en dirai plus en temps utile…

Voici donc quelques photos de notre équipée magdunoise…
Le spectre de Villon serait-il revenu hanter le château de l’évêque qui l’emprisonna ? 


La belle équipe de Roudon Diffusion Artistique… l’automne… 
le jardin de François Robin, la rigolade… l’esprit de Couté plane sur le tout.

Bruno, habité par le texte de « François Villon, corps à cœur » matin, midi et soir…
et probablement la nuit !




Si vous avez l’occasion de visiter le château de Meung-sur-Loire, n’hésitez pas deux secondes ! J’ai le souvenir d’une visite scolaire avec une conférencière costumée qui était épatante ! Elle me révéla que le pseudo cul de basse fosse où aurait été jeté Villon n’est en fait, qu’une glacière du XVIIIème siècle ( ! )… Par contre, l’un des cachots « classiques » à effectivement emprisonné pendant « tout un été » maître François.



jeudi 20 septembre 2018

« FRANÇOIS VILLON, CORPS À CŒUR » À MEUNG-SUR-LOIRE , C’EST SAMEDI !


réservations : 02 38 44 32 28
http://www.meung-sur-loire.com/…/1386-les-journees-gaston-c…
Presque six siècles plus tard, à portée de voix du château épiscopal de Meung-sur-Loire, François #Villon revient sous les traits de Bruno #Daraquypour narguer l’évêque, Thibault
d’ Auxigny.
Le #poète n’a pas oublié celui qui l’a nourri « de froide eau tout un été ! »
Hé oui… Villon est de retour à Meung-sur-loire !
Et c’est pour la pièce « François Villon, corps à cœur » https://francois-villon-corp-a-coeur.jimdo.com/
le dossier de presse des journées Gaston #Couté :
http://musees.regioncentre.fr/…/dossier_de_presse_journees_…
Je dédicacerai en compagnie de Bruno Daraquy et de #Malto le livre-disque-Illustré « François Villon, corps à cœur », la nouvelle édition de « Envoyez-les chier ! » (illustré par Philippe #Jallois), « Com’ ci… Com’ ça .. . » (illustré par#Gezman) et « Monsterland »- «# Monstersongs (co-illustré par Olivier#LeDiscot) »
(voir « monstersongs.fr ») livres-disque dans lesquels on trouve un poème de Villon « Deux étions et n’avions qu’un cœur » mis en musique par Malto et interprété par Lou #Saintagne. Le tout édité chez #Yil édition.

vendredi 7 septembre 2018

ENVOYEZ-LES CHIER ! … MAIS TOUT EN COULEURS !

#Joblin #Jallois (#Yil édition)



Le 22 septembre à #Meung-sur-Loire, à l’occasion des journées Gaston  #Couté et du spectacle François Villon, corps à cœur https://francois-villon-corp-a-coeur.jimdo.com/
 interprété par Bruno #Daraquy, je dédicacerai non seulement les livres-disques « François #Villon, corps à cœur »


 et « #Monsterland » monsterland.fr 

mais aussi « Envoyez-les chier ! » qui vient de faire « peau neuve » dans un format « comic » qui me semble mieux convenir au propos.
Cette formule « souple » offre l’avantage de présenter tous les dessins de Philippe « #Jallois en couleur.
J’en ai profité pour réactualiser quelques gags…
Donc, plus que jamais, entrez dans la résistance ludique contre les emmerdeurs téléphoniques avec cet  ouvrage de combat enrichi de très belles citations et aphorisme de Jeanne D’#Arc, Stéphane Aisselle, Bernard Pavot, Jean-Do Remessa, Claude François et #Gainsbourg…
Et pour vous donner une idée de l’esprit d’absurdité qui règne sur le livre voici l’un des scénarios que vous pourrez réutiliser lorsqu’un démarcheur téléphonique se sera cru autorisé à vous sonner pour tenter de vous vendre n’importe quelle cochonnerie…

Voici donc ce que lui répond « La grande saucisse » :